Nostalgie....
....67,l'année où j'ai acheté ma première Triumph.Une Spit Mk III.La TR5,étant trop chère pour mon budget.Achetée boulevard Raspail(on voit l'adresse sur cette pub.)
La petite nénette qui nous sollicite du regard semble se demander si la capote à 'couverture instantanée 'lui est destinée,vu qu'elle risque un gros rhume dans cette tenue.
Sympa et rare cette pub,cher Brett,bien qu'elle ne nous rajeunisse pas!
Phil
Génial cette histoire cher Phil! Ta première Triumph achetée à l'agence mentionnée sur cette pub, sympa non?!?!
Je me demande ce qu'il y a maintenant à cette même adresse?
Sinon, cette même pub a été déclinée sous diverses formes, au gré des tailles d'espaces publicitaires dans la presse et des concessionnaires... Par exemple Jacques Savoye à Paris 17 avait publié sous ce format:
Peut-être que quelqu'un d'autre qui nous lit a acheté une TR5 là-bas?
Bravo BRETT, je connaissais ces pubs d'époque et suis heureux de les redécouvrir....cette voiture de sport exemplaire et malgrés tout accessible financièrement a marqué son temps. Beaucoup d'acheteurs potentiels contemporains ont été déroutés par les rumeurs de fiabilité douteuse de l'injection et de consommation inavouable. Si l'on rajoute sa quasi absence en compétition nationale (hormis René METGE) et la baisse progressive d'intérêt pour les roadster anglais au profit des coupés et berlinettes (Alfa - Porsche - Alpine...omniprésents en compétition), on comprend vite le succés relatif de cette auto même si TRIUMPH à voulu booster son image par la sortie de la TR6. En 1968/69 les anglaise traditionnelles étaient devenues ringardes aux yeux des sportifs du volant, au profit des R8G - NSU TTS - ALFA GIULLIA -BERTONE et SPIDER -LANCIA FULVIA etc. La tendance avait changée (voir les films français d'époque)...Quoiqu'il en soit nos TR5 restent des légendes d'une époque charnière et sont l'aboutissement d'une tradition avec une technologie innovante.
Je suis trés fier d'en posséder un exemplaire et j'espère que BRETT va nous régaler avec d'autres pubs aussi pétillantes....
Suis content de raviver des souvenirs avec ces délicieux documents d’époque, pour ceux qui les ont connus, ou de faire rêver les autres, qui comme moi n'ont pas connus ces temps mythique!
Curieux destin que celui de la TR5, non? Modèle de transition, faite de contradictions : lignes déjà datées à sa sortie en 1967, conception archaïque d’un côté (chassis séparé) et à la pointe du progrès de l’autre (injection), on peut comprendre qu’elle ait eu un peu de peine à séduire à l’époque face à une vive concurrence, ajoutez-y ses soucis de réputation de fiabilité de l’injection…
...Et aujourd’hui, grosse revanche, c’est précisément ce côté charnière qui attire les amateurs d’anciennes: en résumé le meilleur des deux mondes ou 'un moteur de TR6 dans une TR4', une ligne typée années 60 due au génial coup de crayon de Michelotti, mais avec des performances enthousiasmantes des années 70, et sans aucun souci de fiabilité pour qui n’est pas trop à cheval sur l’origine (changer la pompe Lucas par une Bosch…) . De vilain petit canard de transition au départ, elle est devenue la plus désirable de la lignée des TR!
N'y voyez pas là un passage de pommade,mais chapeau à Brett et à Christian pour la qualité de leurs commentaires et des informations qu'ils nous donnent.
On pourra bientôt faire un bouquin dédié à la TR5,et qui rassemblera toutes les contributions qu'on trouve içi et nulle part ailleurs.
Encore bravo à vous deux et merci à Brett pour son excellente idée.
Phil
Bah un peu de pommade ça ne fait jamais de mal hein?! Merci Phil pour le commentaire et je vous retourne le compliment sur votre contribution au forum!
Au fait les amis, j'ai encore bien du matériel pour les prochaines semaines, cette petite série a du bon car elle m'oblige à numériser/faire un peu d'ordre dans ma collection! Et c'est surtout un grand plaisir de partager avec des gens qui apprécient!
Pour en revenir aux 'Irrésistibles triumphent', ce slogan n'est sans doute pas étranger à ce clip vidéo de 1968 (à l'époque ça ne s'appelait pas encore ainsi) des Irrésistibles, 'My year is a day', qu'en pensez-vous?
Cette semaine, restons encore en France. Nous sommes maintenant en 1968, les prix ont un peu augmenté alors que les jupes ont raccourci. La TR5 est toujours qualifiée de 'nouvelle', c'est pourtant déjà sa dernière année...
Effectivement cher JT 56,l'autocollant 'Britisch Coquet Club'n'est pas indispensable,mais il est nécessaire et impératif car c'est l'intitulé et le visuel de notre groupement d'amateur de voiture anglaise.
Cordialement
Je suis confus, je pensais qu'il s'agissait d'un vieil autocollant anglais d'époque, mon but n'était évidemment pas de froisser . De plus, ayant vu l'avatar du webmaster j'ai cru que c'était son bolide (le 'damson' rendu 'signal red' par le coup de flash ?) et j'ai sauté sur l'occasion pour le chambrer gentiment car je le connais!
C'est aussi pourquoi j'ai parlé de restauration, mais j'ai vu ton auto dans un comparatif AutoRétro et c'est sûr qu'elle n'en a pas besoin !!
;-)
François, le badge 'Garage Molière Valence' de ton auto est vraiment superbe! A soigner!
Je ne te ferai pas l'affront de te demander si tu as cherché par Google, pages jaunes et compagnie.... A première vue aucun des deux garages (Garage Molière à Valence et Sport Garage à Montauban) ne semble exister aujourd'hui.
Au 646 Avenue Jean Moulin à Montauban (où se trouvait donc Sport Garage), on trouve aujourd'hui une entreprise Bois et Chiffons et une entreprise de décoration - photo sur Google Maps si jamais.
Je ne sais pas comment ça se passe en France, mais ici en Suisse, un moyen de trouver des renseignements sur des entreprises disparues est de passer par le registre (public) du commerce, qui garde des informations sur les entreprises radiées permettant parfois de 'remonter la filière'... Inspecteur Brett Montriond au rapport! Peut-être une piste à explorer?
Tiens-nous au courant si tu trouves quelque chose, François !
Bon, nous revoici mardi matin, l’heure d’une nouvelle publication a donc sonné!
Cette semaine, on retrouve une vieille connaissance : JKV654F, qui illustre la page de la TR5 dans le catalogue anglais de la gamme Triumph 1968. Une gamme qui s’enrichit alors de trois nouveaux modèles pour ce millésime : La 1300TC, la Herald 13/60, et bien sûr la TR5.
JKV654F apparaît dans le cadre « course automobile » de certaines des petites photos de la brochure spécifique à la TR5 que j’avais publiée le 25 janvier. Bien que cette photo n’y apparaisse pas, aucun doute qu’elle a été prise lors de la même session. Quelle ambiance délicieusement sixties, non?
Z'ont l'air un peu photoshoppés d'ailleurs ces enjoliveurs je trouve... même si évidemment Photoshop en 1967, c'était du fait à la main!
Ceci dit , des goûts et des couleurs bien sûr, et même si ces enjoliveurs Rostyle sont une des marques de fabrique de la TR5, personnellement je n'aime pas le 'vrai faux'... (et encore plus quand le faux montre cinq boulons alors que deriière il n'y en a que quatre). Pour cette raison j'aurais pris l'option roues fil à l'époque ...comme je l'ai prise aujourd'hui aussi d'ailleurs!
Si cela avait été des vraies Rostyles, sans doute que je lea aurais préférées aux roues fils.
Cette semaine, on reste dans la même série mais on s’arrête aux stands!
Je vous invite en Suisse, puisque cette image (que l’on retrouve en petit dans la brochure TR5) a été choisie par Blanc et Paiche, importateur Triumph à Genève, pour cette publicité dans la presse helvétique.
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